Confidence 50

Côte à côte (ou baffle à baffle) avec la Confidence C4, l’ancien produit phare de la gamme, la toute nouvelle Confidence 50 est d’une taille comparable. 

Comme cette enceinte légendaire, il s’agit d’un design à trois voies avec deux woofers et deux haut-parleurs médium. La fabrication est incroyable. Les finitions sont superbes. Et les performances magnifiques. Elle utilise la technologie DDC (Dynaudio Directivity Control) pour former un « faisceau » sonore permettant d’éviter les réflexions au sol et au plafond. Et elle comporte un tweeter Esotar et des woofers en MSP. 

Mais cet ensemble (chaque composant) est porté à un nouveau niveau de performance. 

Vous remarquerez peut-être que les précédentes colonnes Confidence possédaient deux tweeters, les nouvelles Confidence 50 n’en ont qu’un. C’est parce que les ingénieurs de Dynaudio Labs ont découvert de nouveaux moyens d’optimiser les crossovers, les guides d’ondes et les baffles afin de créer une version beaucoup plus simple et plus performante de la plate-forme DDC. 

Tout tourne autour du nouveau DDC Lens, l’époustouflant guide d’onde usiné avec précision qui entoure le tout nouveau tweeter Esotar3 (nous pensons que cette combinaison va vous mettre l’eau à la bouche). La topologie du DDC Lens a été simulée et optimisée afin de focaliser verticalement le tweeter, les haut-parleurs médium et les woofers sur la position d’écoute. Cela réduit considérablement les réflexions sur les sols et les plafonds, ce qui signifie que vous entendez exactement ce que produit le haut-parleur et non la pièce. 

Le nouveau tweeter à dôme souple Esotar3 de 28 mm tire partie de plus de 40 ans d’expertise de Dynaudio, mais aussi de nombreuses nouvelles connaissances acquises grâce au renommé Esotar Forty. Le tout s’intègre dans le meilleur tweeter que nous ayons jamais développé. Un puissant système magnétique en néodyme, des innovations en matière de routage du flux d’air, le nouveau dôme interne Hexis pour contrer la résonance… Tout concourt à améliorer les détails, la clarté et la sensibilité. 

Les nouveaux woofers NeoTec en MSP de 18 cm ont également des aimants en néodyme sous le capot et utilisent de la fibre de verre pour leur cylindre de bobine mobile afin d’assurer une rigidité optimale. Les bobines mobiles elles-mêmes sont en cuivre (ce qui donne une masse en mouvement accrue pour des graves plus serrés, plus puissants et plus contrôlés dans cette conception de haut-parleur spécifique). Et l’ensemble du moteur du woofer a été conçu pour exploiter le flux d’air à l’aide d’un système novateur de ventilation directement usiné dans l’aimant. 

Les tout nouveaux haut-parleurs médium en MSP de la Confidence représentent un nouveau départ par rapport aux conceptions précédentes de Dynaudio. 

Ils emploient un design radical de la suspension de cône (l’Horizon) qui épouse la forme du cône jusqu’au bord du haut-parleur. Cela réduit le premier mode de résonance de la suspension de cône pour augmenter efficacement la surface totale de jeu et améliorer les performances. Ils affleurent le baffle pour réduire les diffractions de la membrane et du tweeter adjacent. 

En coulisse, le châssis tire parti d’un nouveau design organique léger qui résulte de nombreuses simulations d’optimisation de la topologie. Cela augmente le flux d’air, préserve sa stabilité et sa rigidité et réduit le poids simultanément, sans sacrifier les performances. 

Tout est maintenu bien en place dans le baffle en composite Compex ultra-rigide, super-amorti et acoustiquement inerte. Il fait écho au design des précédentes Confidence, mais avec une esthétique et des principes acoustiques actualisés. C’est parce qu’il fait partie intégrante du système DDC Lens, en plus de fournir un couplage et un découplage parfaits des haut-parleurs. 

En bas se trouve l’évent de basse. Vous ne le verrez pas, il se trouve sous l’enceinte. Et comme le flux est descendant, nous avons pu le concevoir pour qu’il fonctionne exactement comme nous le voulions, sans nous soucier de faire un gros trou dans la belle finition. 

Et honnêtement, il faut l’entendre pour le croire…